Un traité met fin à la « famine de livres » des aveugles

Le 22 juin, l’élaboration d’un traité en faveur des aveugles semble courir à la catastrophe ; les négociateurs cherchent à gagner du temps et refusent de revoir leurs positions. Trois jours plus tard, l’un d’eux annonce enfin à une foule d’observateurs tendus et épuisés : « Nous avons un texte ! ».

Les larmes et la danse qui suivirent ne sont pas exactement ce que l’on imagine quand on pense à la naissance d’une loi internationale.Le 22 juin, l’élaboration d’un traité en faveur des aveugles semble courir à la catastrophe ; les négociateurs cherchent à gagner du temps et refusent de revoir leurs positions.

Trois jours plus tard, l’un d’eux annonce enfin à une foule d’observateurs tendus et épuisés : « Nous avons un texte ! ». Les larmes et la danse qui suivirent ne sont pas exactement ce que l’on imagine quand on pense à la naissance d’une loi internationale.

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